L, La petite héroïne de la symphonie a trouvé une seconde maman à la plume colorée : Ananda ! Un album magnifique en cours de réalisation dans ses doigts dotera L d'un univers féérique crée sur mesure. Un petit extrait du texte :
"Symphonie en L majeur ou Petit conte cruel"
L marchait sur la ligne d'horizon.
L flirtait avec Emoi et Frisson.
Mais L se dérobait dès qu'on s'approchait d'elle :
L s'envolait loin, loin... à tire d'ailes.
Pourtant, L révait d'Il, qu'un jour il vienne. L l'imaginait beau, valeureux, magnifique, monté sur un cheval blanc. Et qu'entre Il et L, ce soit l'étincelle.
Paysages Nocturnes : cette année, au Grand Pressigny, sous la direction de José Manuel Cano Lopez, le thème du festival est "drames familiaux".
Ca y est, j'ai reçu mon rôle : Thérèse dans "Victor ou les enfants au pouvoir" de Vitrac.
Première journée de travail : le 4 juillet.
Première ébauche présentée au public : le 5 juillet, 21 heures.
Spectacle final : dernier we de juillet.
Encore un mois de pur bonheur ! Paysages Nocturnes, c'est un autre monde... Et puis, dans l'aventure, il y a Damien, biensûr, mais aussi Delphine qui nous rejoint, Philippe, Françoise, Elizabeth... Une folle équipe !
Des textes envoyés à la revue littéraire "Le cri d'une mouche":
- Solitude au pluriel. Phrase clef : "En t'épousant, je suis entrée en solitude, comme on entre dans les ordres ou dans la marine."
- Ténèbres intimes, nouvelle fantastique dont je vous livre un extrait "métaphysique" : J'ai longuement réfléchi depuis. Sans être parvenu à une conclusion définitive, j'ai supposé (entre autres folles hypothèses) cette aventure être la manifestation physique d'une terreur collective : tiré de rien, l'homme peut un jour aussi y retourner. L'univers a eu un commencement, il peut aussi avoir une fin. Les questions restent là, latentes : qu'y avait-il avant le commencement? Qu'y avait-il avant la première cellule organique vivante? Qu'y avait-il avant l'apparition de la matière? Mais ce ne sont pas là les plus angoissantes comparées à celles que nous avons tous sur les lèvres : qu'y a-t-il après ? Aux confins de l'univers, que se passe-t-il ? Il a été prouvé que l'univers est toujours en expansion. Il grandit sur quoi ? Qu'y a-t-il derrière ? Qu'est-ce que le néant ? Est-ce aussi simple et aussi terrible que la mort?
- Sonate en V mineur (voir extrait plus bas).
Une participation à un concours d'écriture, "Vide tiroirs", organisé par l'association "Femmes qui écrivent avec des loups".
J'y ai envoyé ma petite L en ambassadrice.
En fait, c'est le nom de l'association qui m'a beaucoup plu : Delphine comprendra pourquoi...
Bientôt, la mise à la scène de Peut-être pas, pièce de théâtre que j'ai écrite il ya des années mais que je suis en train de remanier pour Damien et moi.
Une rencontre étrange entre Paul et Léa, deux êtres que la vie a abandonnés sur le côté de la route et qui se sont enroulés autour de leur douleur en devenant sourds à tout ce qui n'était pas elle.
Une rencontre ? Une reconnaissance ? Un jeu sadique ? Une victime ou deux bourreaux ? Des menteurs ? Des fantomes ?
"Nous sommes des gens qui ne se nourrissent que d'amour mort, dit Paul.
"Non, répond Léa, des gens morts qui croient pouvoir vivre d'amour."
En tous cas, 3 actes qui se jouent à une terrasse de café. A la recherche de lieux qui pourraient nous accueillir : une véritable prise en otage de la clientèle d'un café me plairait assez.
Bon finalement, ça fait pas mal !
Bien sûr, il y a toujours l'écriture pour "Detours et des troquets", mais ça, Ananda en parle bien mieux que moi...
"Symphonie en L majeur ou Petit conte cruel"
L marchait sur la ligne d'horizon.
L flirtait avec Emoi et Frisson.
Mais L se dérobait dès qu'on s'approchait d'elle :
L s'envolait loin, loin... à tire d'ailes.
Pourtant, L révait d'Il, qu'un jour il vienne. L l'imaginait beau, valeureux, magnifique, monté sur un cheval blanc. Et qu'entre Il et L, ce soit l'étincelle.
Paysages Nocturnes : cette année, au Grand Pressigny, sous la direction de José Manuel Cano Lopez, le thème du festival est "drames familiaux".
Ca y est, j'ai reçu mon rôle : Thérèse dans "Victor ou les enfants au pouvoir" de Vitrac.
Première journée de travail : le 4 juillet.
Première ébauche présentée au public : le 5 juillet, 21 heures.
Spectacle final : dernier we de juillet.
Encore un mois de pur bonheur ! Paysages Nocturnes, c'est un autre monde... Et puis, dans l'aventure, il y a Damien, biensûr, mais aussi Delphine qui nous rejoint, Philippe, Françoise, Elizabeth... Une folle équipe !
Des textes envoyés à la revue littéraire "Le cri d'une mouche":
- Solitude au pluriel. Phrase clef : "En t'épousant, je suis entrée en solitude, comme on entre dans les ordres ou dans la marine."
- Ténèbres intimes, nouvelle fantastique dont je vous livre un extrait "métaphysique" : J'ai longuement réfléchi depuis. Sans être parvenu à une conclusion définitive, j'ai supposé (entre autres folles hypothèses) cette aventure être la manifestation physique d'une terreur collective : tiré de rien, l'homme peut un jour aussi y retourner. L'univers a eu un commencement, il peut aussi avoir une fin. Les questions restent là, latentes : qu'y avait-il avant le commencement? Qu'y avait-il avant la première cellule organique vivante? Qu'y avait-il avant l'apparition de la matière? Mais ce ne sont pas là les plus angoissantes comparées à celles que nous avons tous sur les lèvres : qu'y a-t-il après ? Aux confins de l'univers, que se passe-t-il ? Il a été prouvé que l'univers est toujours en expansion. Il grandit sur quoi ? Qu'y a-t-il derrière ? Qu'est-ce que le néant ? Est-ce aussi simple et aussi terrible que la mort?
- Sonate en V mineur (voir extrait plus bas).
Une participation à un concours d'écriture, "Vide tiroirs", organisé par l'association "Femmes qui écrivent avec des loups".
J'y ai envoyé ma petite L en ambassadrice.
En fait, c'est le nom de l'association qui m'a beaucoup plu : Delphine comprendra pourquoi...
Bientôt, la mise à la scène de Peut-être pas, pièce de théâtre que j'ai écrite il ya des années mais que je suis en train de remanier pour Damien et moi.
Une rencontre étrange entre Paul et Léa, deux êtres que la vie a abandonnés sur le côté de la route et qui se sont enroulés autour de leur douleur en devenant sourds à tout ce qui n'était pas elle.
Une rencontre ? Une reconnaissance ? Un jeu sadique ? Une victime ou deux bourreaux ? Des menteurs ? Des fantomes ?
"Nous sommes des gens qui ne se nourrissent que d'amour mort, dit Paul.
"Non, répond Léa, des gens morts qui croient pouvoir vivre d'amour."
En tous cas, 3 actes qui se jouent à une terrasse de café. A la recherche de lieux qui pourraient nous accueillir : une véritable prise en otage de la clientèle d'un café me plairait assez.
Bon finalement, ça fait pas mal !
Bien sûr, il y a toujours l'écriture pour "Detours et des troquets", mais ça, Ananda en parle bien mieux que moi...
2 commentaires:
un petit clin à toi jolie Madeleine... Je pense très fort à vous deux (et aux proches) après la tempête. Même si les plaines de Tchèquie semblent bien lointaine. J'ai hâte de vous retrouver
j'ai oublié un s à lointaines c'était l'émotion de tomber sur le blog et le regard du petit clin d'oeil ! N'aie crainte Damien je suis loin....
Bisousssss
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